Qui y gagnerait à ce que la com' politique passe de la TV-radio-Journaux à des plateformes collaboratives ?

Parce que, en réfléchissant, la communication politique sur les média de mass n'est pas la même que sur les plateformes collaboratives:

-dans les émissions de débats et expressions politiques, le discours abordent plusieurs sujets généralistes liés à l'actualité nationale du moment;

-chaque jounal est connu pour ses opinions politiques, alors c'est facile, on tombe dans la segmentation du public et on applique du "marketing";

-alors qu'avec les plateformes collaboratives, il faut se poser des questions comme "Où est-il pertinent (territorialement et sur le Web) en France de dire que la fracture numérique est à l'origine de la fracture à l'accès à la culture ?".

On peut penser facilement que l'ouverture au média sociaux et des plateformes collaboratives profitent qu'aux consultants indépendants et non aux agences de communication. Mais dans la réalité, rien n'est simple! Alors qui y gagne ? Les élus locaux ? Les chargés de com' des antennes de régions et départements ? Assistons-nous à une montée de la représentativité electorale sur le Web des élus locaux grâce aux nouveaux médias ? Ou alors personne, comme ça pas de jaloux ?